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Libération

Quand l'art se met en boule

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publié le 17 juin 2011 à 15h27
(mis à jour le 19 juin 2011 à 11h47)

Denis Smith s'est acheté un appareil photo il y a dix-huit mois, alors que sa « vie connaissait une période de trouble», comme il le raconte sur son site. Depuis l'Australien photographie des boules de lumière. Des clichées qu'il réalise sans retouche photo, simplement avec une très longue exposition. Il explique ses motivations, et sa technique, dans une vidéo.

Beaucoup (beaucoup) plus jeune dans la catégorie artistes australiens: Aelita Andre. A quatre ans, elle expose à New-York, dans l'Agora Gallery. Ses oeuvres abstraites se vendent déjà à plusieurs milliers de dollars la pièce. La première fois que Aelita a présenté ses peintures, c'était dans une exposition à Hong Kong. Elle avait alors 24 mois.

Jeff Waldman est plus âgé qu'Aelia Andre, mais il a visiblement gardé une âme d'enfant: Jeff Waldman a installé plusieurs balançoires à San Francisco. Dans le cadre de cette « expérience inter-cités d'une joie inattendue et d'un bonheur cérébral», comme la décrit l'artiste, c'est au tour de la Bolivie de recevoir des balançoires-surprises. Mais cette fois, plusieurs devraient être permanentes, promet Jeff