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Le vase clos de Fantin-Latour

Dans ses portraits, il n’a de puissance qu’autant qu’il isole ses personnages. Entre eux, rien ne passe – comme s’ils vivaient dans des mondes différents. Ils semblent peints à part, puis collés l’un à côté de l’autre, ou s’ignorer avec indifférence. Parfois, elle reflète la mesquinerie de l’époque. «Autoportrait», 1861. Lire l'article ici : https://next.liberation.fr/arts/2016/09/25/le-jardin-suspendu-de-fantin-latour_1510025 (Photo courtesy National Gallery)
publié le 26 septembre 2016 à 14h56