Critique

Robert Morris, la sculpture à corps ouvert

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Feutres obscènes et dégoulinants, miroirs où l’on ne se croise jamais, espaces glaciaux : à Saint-Etienne, l’exposition consacrée aux décennies 60 et 70 de l’artiste minimaliste prouve à quel point son œuvre n’est pas si austère, et finalement très sensuelle.
publié le 7 septembre 2020 à 17h46

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