Chronique «Ecritures»
«Adolescence» : on ne naît pas masculiniste, on le devient, par Martine Delvaux
Ce que montre la série britannique et que nous refusons de regarder en face, c’est que la misogynie qui se répand sur les réseaux est un problème mortel. Et la question qu’elle pose est : pourquoi une telle passivité des adultes ?