Le café Georges, Costes, la branchitude, Starck, Sharon Stone, tout ça: la réputation de la chaîne familiale -de l'hôtel aux cafés essaimés dans Paris- n'est pas tellement dans la mood terroir et c'est-la-beauté-intérieure-qui-compte. Voilà qu'une hôtesse d'accueil repentie se livre à nos confrères du Canard enchaîné et y balance velu les vilainetés de la direction.
Et d'une, le physique du personnel, qu'on sait être embauché grand, ressemblant plutôt à Diane Krüger qu'à Yolande Moreau, et plutôt avant 30 ans, parce qu'après y a tout qui pend. Et de deux, celui des clients. Ça se résume par: les thons derrière, les canons devant, si l'on en croit les deux jeunes femmes interrogées par l'hebdo satirique. Les clients seraient donc divisés en «beaux» et «pas beaux», les premiers conduits en vitrine, les seconds planqués en arrière-salle. Sinon «c'est très mauvais pour (l')image». Pour faire le tri, les hôtesses se débrouillent selon les critères enseignés par Gilbert Costes soi-même, qui viendrait, selon le Canard, expliquer au personnel son sens de l'esthétique: «Il nous serine les principes de la maison, dont il est très fier, vu qu'il les a inventés», raconte l'hôtesse au journal.
Evidemment, les stars ont le droit d'être des trumeaux, quel que soit le physique d'un pipeule, on l'exhibe le plus possible «dans les nuages, avec en face Notre-Dame, à côté la Tour Eiffel, et au loin le Sacré-Cœur», ricane l'hebdo, citant le dossier mais