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SAMBA

Beauté carioca : corps des miracles

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Ongles, cheveux, peau, fesses… comment devenir une véritable bombe brésilienne.
Une carioca sur la plage d'Ipanema. (Photo Alain Bacquer. Picturetank )
publié le 30 mai 2014 à 20h36

On a tous (vous, moi) quelque chose en nous de brésilien. Parfois même sans le savoir ! Revue non exhaustive de ces petits riens qui font carioca.

La manucure. Huit femmes sur dix se font faire une manucure toutes les semaines au Brésil, autant dire qu'on ne rigole pas avec ça. Règles d'hygiène très strictes, mains enveloppées dans des gants hydratants, pose du vernis avec force débordement, retouché ensuite au dissolvant, la manucure du Brésil dure plus longtemps qu'une manucure classique. Elle a débarqué en Europe l'an dernier, on peut y goûter dans les salons Brasilhair en France. A la maison, il suffit de poser le vernis n'importe comment puis de rectifier avec un coton-tige, et c'est super carioca.

Le lissage. Fort différent de son cousin japonais, qui donne un résultat baguette et quasi permanent, le lissage brésilien détend les boucles pour environ quatre mois façon Jennifer A. Naturellement très à la mode là-bas, où, dixit un local, les Brésiliennes vivent pour leurs cheveux, il l'est aussi aux Etats-Unis, et a ses adeptes en France. Mais gaffe au formol que les solutions de défrisage cheap peuvent contenir, dangereux à haute dose : en Europe, il est interdit de faire un lissage brésilien en salon contenant plus de 0,2% de formol. Vu que ça coûte jusque dans les 400 euros, mieux vaut ne pas, en plus, s'empoisonner avec du produit d'embaumement.

Le bracelet.<