Chaque jour, un exercice de style autour d'un genre journalistique. Après l'enquête et avant la nécrologie, voici le rectificatif...
Contrairement à ce que nous annoncions dans notre édition d'hier, l'ouvrage de Patrick Poire d'Abord, Cent ans de JT et toutes ses dents publié aux éditions Laffonlacaisse, comporte bien 99 pages et non 69 comme nous l'avons écrit par erreur, les lecteurs, nombreux n'en doutons pas, qui auront été au bout de cet ouvrage de toute une vie, auront rectifié d'eux-mêmes. Profitons-en pour signaler une regrettable coquille qui nous a fait confondre le chapitre 1 «mon compteur à moi c'est toi» avec le chapitre 10 «ma vie en castrorama» rendant incompréhensible la farce de notre chroniqueur évoquant «le lait et les tics du bossu», les deux chapitres étant au demeurant d'une égale pestillance.
Contrairement à ce que nous annoncions hier dans notre rectificatif à propos d'un article paru la veille dans notre rubrique libertaire et traitant de l'ouvrage Cent ans de JT et toutes cédant, l'auteur de l'article, qui nous avait dicté son rectificatif par téléphone depuis les îles Morues où il passe 35 heures, tient à préciser que l'auteur révoqué dans son article de fonte hebdomadaire porte bien le nom de Poivre et non de Poire comme nous l'avons écrit par erreur. En outre, l'auteur de l'article signale qu'il n'a pas écrit une farce mais bel et bien une phrase et même plusieurs et que les chapitres mentionnés lui semblaient d'une égale pétillance et non pestilla