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Libération

Libé, je t'aime moi non plus.

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publié le 26 novembre 2005 à 4h40

«Votre journal est nul, immonde, dégueulasse,et l'actionnariat a bien raison de vouloir lui tordre le cou. Votre journal est indispensable, génial, inimitable, et l'actionnariat a bien raison de mettre plein d'argent pour le soutenir, avec comme magnifique perspective de pouvoir un jour, comme retour sur investissement, dire: "Moi, j'ai soutenu Libé"».

«Les cinq premiers salaires de Libé représentent combien de milliers d'abonnés au journal ?»

«Un journal vous manque et le Monde vous parait sans saveur...»

«Je ne suis pas, et de loin, toujours d'accord avec Libé. C'est d'ailleurs pour cela que je l'achète tous les jours.»

«"C'est l'histoire d'un mec y meurt"... c'était Libé comme je l'aimais.»

«Libé et Rothschild, est-ce vraiment l'idée du siècle, l'eau et le feu, l'or et le plomb ?»

«Libé, c'était le journal de ceux qui combattaient le cynisme du monde, c'est devenu un journal cynique envers ceux qui veulent changer le monde.»

«Je ne vous connaissais pas, les photos publiées sur votre site m'ont permis de faire votre connaissance et de comprendre le fond du problème: vous êtes vieux!»

« Les nouvelles nouvelles formules ? Trompe-couillons !»

« Tenez bon ! Vos lecteurs le valent bien ...»

«Ça peut paraître bête, mais c'est aussi pour tout ce qui ne semble pas aller bien droit à Libé que j'aime ce journal.»

«Pour que les bobos continuent à avoir un journal qui leur ressemble. Pour que les idées de gauche et de progrès aient de moins en moins de place dans la presse française. Pour vos sa