Interview

«A Shinjuku, j'aime l'animalité, les odeurs, la vulgarité»

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Depuis quarante ans, Araki se perd dans les rues de ce quartier chaud de Tokyo à la recherche de créatures belles ou laides et de cette «humanité obscure» qu'il adore.
publié le 7 octobre 2006 à 23h33

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