Dix jours après son audition, le 14 mai, devant la commission parlementaire sur les violences dans les établissements scolaires, et en particulier sur l’affaire Bétharram, le Premier ministre est revenu à la charge. Soupçonné d’avoir été au courant, dès les années 90, des violences commises dans cet établissement privé béarnais sans avoir agi, voire d’être intervenu en faveur de certains accusés, François Bayrou a publié, vendredi 23 mai, sur son site bayrou.fr, les «faits et documents qui prouvent le caractère fallacieux des accusations portées contre moi dans l’affaire Bétharram». Une façon de répondre aux propos de certains députés LFI, qui lui reprochent d’avoir menti devant la commission parlementaire.
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Affaire Bétharram : que valent les «preuves» censées disculper François Bayrou, publiées sur son site ?
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François Bayrou, le 14 mai, à l'Assemblée nationale lors de la commission d'enquête parlementaire sur les violences dans les établissements scolaires. (Albert Facelly/Libération)
publié le 28 mai 2025 à 19h10
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