Le 20 mars, ils étaient tous réunis à l’Assemblée nationale. Ce jour-là, plusieurs représentants de collectifs de victimes de violences dans des établissements scolaires sont auditionnés par la commission des affaires culturelles, dans le sillage de l’affaire Bétharram. A l’issue de la table ronde, ils décident d’unir leurs forces dans un groupe d’échanges sur WhatsApp dénommé «Union des collectifs de victimes». Au total, ils sont une vingtaine de personnes à représenter dix collectifs, parmi lesquels ceux pour les victimes de Notre-Dame de Bétharram, de Notre-Dame de Garaison, de collège de Saint-Pierre de Relecq-Kerhuon ou encore
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Affaire Bétharram : des remous au sein de l’union des collectifs de victimes
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Alain Esquerre, porte-parole de l'association des victimes de l'école de Bétharram, lors d'une interview à l'entrée du collège du Beau Rameau, le 28 mars. ( Gaizka Iroz/AFP)
par Anaïs Condomines
publié le 2 mai 2025 à 16h43
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