La liste des structures ou sociétés dont doit se tenir écartée la nouvelle ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques de 2024, a fait l’objet d’une nouvelle mise à jour, comme en témoigne un décret publié mardi 22 janvier.
En plus des sociétés Axa, Carrefour, Société générale, Capgemini et Sportbudiz, déjà répertoriées dans un précédent décret du 18 janvier sur ses déports, la ministre devra ne pas «connaître des actes de toute nature relatifs» à Sanofi.
Amélie Oudéa-Castéra devra aussi se tenir éloignée, comme prévu par le précédent texte, «de toute décision concernant directement l’association Fédération française de tennis [FFT], l’association Rénovons le sport français et l’établissement privé catholique sous contrat d’association avec l’Etat Stanislas».
Reportage
Des décisions prises en application du décret du 22 janvier 1959, qui dispose que «le ministre qui estime se trouver en situation de conflit d’intérêts en informe par écrit le Premier ministre en précisant la teneur des questions pour lesquelles il estime ne pas devoir exerce