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Barcola, Aubameyang, Rami : des footballeurs accusés d’avoir soutenu les streams violents du «Lokal», ayant diffusé la mort de Jean Pormanove

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Plusieurs sportifs et influenceurs avaient fait leur apparition dans des vidéos de cette équipe de streamers dont faisait partie Jean Pormanove, victime de sévices filmés, et mort en direct dans la nuit du 17 au 18 août.
Pierre Aubameyang au stade King Abdul Aziz Sport City, le 17 janvier 2025, à La Mecque en Arabie Saoudite. (Yasser Bakhsh/Getty Images. AFP)
publié le 21 août 2025 à 9h09

Deux jours après le décès en direct du streamer Jean Pormanove (surnommé JP, mais dont le vrai nom est Raphaël Graven), le drame continue de susciter l’indignation et l’incompréhension. Devenu célèbre au fil de nombreuses vidéos d’humiliations et de sévices physiques en direct, le quadragénaire est décédé dans le cadre d’un live de plus de 12 jours. Le parquet de Nice a annoncé avoir ouvert une enquête «en recherche des causes de la mort», et lors de l’autopsie, aucune lésion interne ou externe pouvant expliquer le décès n’a été constatée par les experts judiciaires. “Les médecins experts considèrent que le décès de M. Graven n’a pas une origine traumatique et n’est pas en lien avec l’intervention d’un tiers. Les causes probables du décès apparaissent donc d’origine médicale et/ou toxicologique”. Le parquet ajoute que des analyses complémentaires ont été ordonnées.

Alors que le grand public découvre ces contenus, tournés avec ses associés «Naruto» et «Safine», et un autre homme, «Coudoux», handicapé sous curatelle, les accusations se multiplient, visant l’inaction