Quatre jours après la mort de Jean Pormanove (Raphaël Graven, de son vrai nom) lors d’un stream en direct, les premières conclusions de l’autopsie, réalisée le 21 août, ont établi l’absence de lésions internes et externes pouvant expliquer le décès. Sa mort «n’a pas une origine traumatique et n’est pas en lien avec l’intervention d’un tiers». «Les causes probables du décès apparaissent donc d’origine médicale et /ou toxicologique.» Rien ne permet en l’état de lier la mort du streamer aux sévices qu’il subissait lors de ces live.
Mais ce qui apparaît sûr en revanche, c’est que les «associés» de Jean Pormanove, Naruto (Owen Cenazandotti) et Safin (Safine Hamadi), ont infligé au quadragénaire (46 ans au moment de sa mort) des violences et humiliations tout en sachant que son état de santé se dégradait. C’est la conclusion qui s’impose à la vision de multiples extraits de directs, et qui contredit les propos tenus par l’avocat de «Naruto».
Contradictions entre avocats
Invité sur le plateau de BFM TV le soir du 21 août, l’avocat, Philippe-Henry Honegger, qui a par ailleurs répété que les viol