«Nuit blanche, je m’en fous, je veux voir le film…» Sur Facebook, les fans de la première heure de Hold-up trépignaient d’impatience lundi soir. Pierre Barnérias avait promis la sortie non pas d’un «Hold-up 2» mais d’une nouvelle version définitive et «augmentée», appelée Hold-up +, de son documentaire. Comme l’expliquait CheckNews, le film, vu plusieurs millions de fois depuis sa sortie en novembre dernier, entendait dénoncer les «mensonges et corruptions» autour de l’épidémie en France. Mais finissait par évoquer, dans la plus grande confusion, une conspiration mondiale, à grand renfort de contre-vérités.
En raison de problèmes techniques, liés, selon la production, à un trop grand nombre de connexions sur leur site, le film n’a été finalement accessible que mardi soir. Et non pas sur des sites grand public comme Vimeo ou YouTube, qui avaient supprimé la première version, en novembre, pour non-respect de leurs conditions d’utilisation, mais aux personnes qui acceptent de communiquer leur adresse mail. Le documentaire reste cep