Dans les heures qui ont suivi la frappe, militaires, politiques et journalistes la qualifiaient de «symbolique», allant jusqu’à suggérer que la destruction de la porte d’entrée d’Evin, ce 23 juin, visait à libérer les prisonniers. L’armée israélienne, d’après son porte-parole, a visé «un symbole de l’oppression du peuple iranien», et a annoncé mener cette frappe «avec précision pour limiter autant que possible les dommages causés aux civils qui y sont emprisonnés».
Les informations disponibles en source ouverte révèlent que les missiles israéliens ont détruit de larges pans de la prison, parfois à proximité immédiate des prisonniers politiques, et que d