Le mouvement «Tesla TakeDown» avait fait la promesse de montrer, samedi 29 mars, son hostilité au milliardaire américain Elon Musk, allié de Donald Trump, le tout en restant dans un esprit de «contestation pacifique» et de «s’opposer à toute violence, vandalisme et destruction de propriété». Plusieurs titres de presse avaient malgré tout recommandé aux propriétaires de la marque au «T» de ne pas sortir leur véhicule du garage, faisant planer le risque de dégradations. Bilan : au lendemain de la journée mondiale du «démantèlement de Tesla» organisée sur tous les continents samedi 29 mars, on comptait seulement quelques dégradations de plus visant les voitures, concessionnaires et bornes de recharge du constructeur américain.
Dans un premier article publié vendredi 28 mars, CheckNews avait déjà tenté de mesurer l’ampleur réelle de ce phénomène de vandalisme chez Tesla en cartographiant les dégradations publiquement recensées ayant visé Tesla depuis le début de l’année 2025, soit la prise de fonctions de Donald Trump. Grâce aux différents signalements dans la presse locale et su