Le «Birthday book» offert à Epstein en janvier 2003, a déjà fait couler beaucoup d’encre, du fait de lettres sur lesquelles figurent, entre autres, les signatures de Donald Trump et d’un important diplomate britannique (limogé le 11 septembre). Une première version du document portée à la connaissance du public le 8 septembre contenait cependant beaucoup de passages «caviardés». L’essentiel des censures vise à protéger l’identité des victimes du système d’exploitation sexuelle organisé par Epstein. Certains noms de proches du millionnaire ont également été recouverts, à l’initiative des gestionnaires de la succession Epstein – qui détiennent toujours l’original du recueil. Comme annoncé plus tôt dans la semaine par la commission parlementaire en charge du dossier, une version non censurée de deux pages du recueil leur a été communiquée.
Elles révèlent le nom de l’auteur d’une missive étrange, adr