Ce sera l’un des premiers tests de ce gouvernement à la majorité incertaine : le devenir de la réforme des retraites d’avril 2023, qui avait entre autres repoussé l’âge légal de départ de 62 à 64 ans. Alors que fusent les demandes d’abrogation, à gauche comme à l’extrême droite, sans que l’on sache précisément si ces exigences concernent l’ensemble des mesures – négatives comme positives –, plusieurs voix à gauche évoquent, au minimum, une «suspension» du texte.
Interrogée sur le sujet dimanche 8 septembre sur France Inter, la secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon, a ainsi déclaré : «Il faut qu’on mette tous les sujets sur la table [….], [à commencer par] l’éléphant dans la pièce, que [sont