Depuis son ouverture le 2 septembre devant la cour criminelle du Vaucluse, le procès dit des «viols de Mazan» suscite une intense attention médiatique, en France comme à l’étranger. Alors que l’ambiance semble se tendre à l’extérieur et au sein de la salle d’audience, dans le cadre de cette affaire hors norme où 51 hommes, dont son ex-mari, sont accusés d’avoir violé Gisèle Pélicot, droguée et inconsciente, plusieurs publications de deux avocates de la défense ont tout récemment émergé sur les réseaux sociaux.
Isabelle Crepin-Dehaene et Nadia El Bouroumi sont toutes les deux intervenues, la veille, aux côtés d’autres confrères, lors d’une audition particulièrement éprouvante d