Barack Hussein Obama a manifestement l’espoir de pacifier les Etats-Unis, de promouvoir l’apaisement. Le conflit israélo-palestinien est cependant là pour lui rappeler qu’un processus de paix est loin de suffire. Ça fait des décennies qu’on est dedans, là-bas, et ça n’avance pourtant guère. On finit par en souper, du processus de paix, c’est la paix elle-même qui est nécessaire. Qu’il faille un Etat pour les Israéliens et un Etat pour les Palestiniens, tous les hommes politiques occidentaux en sont bien persuadés, personne ne réclame qu’on raye Israël de la carte ni ne prétend que les Palestiniens vivent actuellement comme des rois et qu’il est inutile d’améliorer leur sort. Il faut juste y arriver. Pour l’Irak, Barack Hussein Obama a une porte de sortie honorable. Il n’a qu’à dire : «On a laissé le temps à nos meilleurs experts et le résultat est là : il n’y a pas d’armes de destruction massive dans ce pays. C’est vous qui aviez raison, au temps pour nous. Pardon pour le dérangement et s’il y a des protestations, envoyez-les nous poste restante à Kaboul.» Va-t-il faire le choix stratégique d’aller s’embourber en Afghanistan ? Le Président parle maintenant avec Hillary Clinton, il peut bien parler avec le Hamas, les Irakiens ou les Talibans. La paix des braves, il connaît.
Pour l’instant, c’est Super Obama, l’homme qui vaut mille milliards de dollars, à en juger par le montant approximatif de son plan de relance. Ce riche plan doit agacer les Chinois qui financent les Eta