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publié le 17 septembre 2003 à 1h01

En DVD

­ Les Voyages de Sullivan, Criterion Collection (zone 1, sans sous-titres français), 42 euros. En bonus, un bon documentaire sur l'oeuvre de Sturges.

­ The Lady Eve, Criterion Collection (zone 1, sans sous-titres français), 42 euros. Avec une interview de sept minutes de Peter Bogdanovich, très éclairante. Et les croquis qui ont servi à tailler les robes de Barbara Stanwyck.

En vidéo

­ Des vidéos d'autres comédies de Sturges (Miracle au village, Palm Beach Story, le Gros Lot, The Great Moment) existent mais uniquement aux Etats-Unis ou chez de rares importateurs.

En livre

­ Christmas in July, The Life and Art of Preston Sturges (1992), de Diane Jacobs, Berkeley, University of California Press : une biographie et une filmographie exemplaires.

­ Preston Sturges ou le Génie de l'Amérique, perspectives critiques (2002), de Marc Cerisuelo, Puf, 140 pages, 20 euros : une jolie dérive en compagnie d'un cinéaste et de son oeuvre.

­ A la recherche du bonheur, Hollywood ou la comédie du remariage (1993), de Stanley Cavell, Cahiers du cinéma, 165 pages, 25 euros. Ou Wittgenstein, Shakespeare et Emerson aident à comprendre la screwball comedy.

­ Preston Sturges (2003), d'Angel Comas, T & B, collection «Lo essencial de», 144 pages, 10 euros. Le livre le plus rigoureux.

­ Le Cinéma de la cruauté, d'André Bazin, Flammarion (1975). Au milieu de textes sur Dreyer, Buñuel, Kurosawa, Stroheim, Hitchcock, quatre articles sur Sturges, où Bazin montre qu'il n'était pas que le janséniste qu'on se pla