Dangereuse Séduction, à base de chantage, meurtres rituels, scène primitive enterrée et SM, nous traîne sur les traces d'une fouille-merde rêvant Pulitzer (Halle Berry) dans les cyberpoubelles d'un psychoréclamiste.
Joué par Bruce Willis, qui ne va pas fort (moumoute et surcharge pondérale), ce play-boy se cachant de bobonne pour courir la présoixantaine fait peine. Le comparse nerd Giovanni Ribisi fait le noeud nain curieux de l'affaire, mais trop tard. Le sort de Perfect Stranger est scellé : «séduction» inoffensive.
Goal II, qui pourrait s'intituler les Prolongations, en attendant les Tirs au but («à suivre» conclut l'épisode), bien pire que ce qu'on redoutait du Goal 1, conduit l'enfant de la balle chicano de l'Arsenal Munez au Real Madrid de Zidane (hou ! dehors !). Entre sa femme chiffonnière, figurant le bonheur (beuh), et une Castillane, le plaisir (ah), affrontant l'épreuve du succès le gars tombe sur un petit frère miséreux, fils de l'oncle qui avait violé maman à Mexico ce qu'elle lui révèle à Madrid en anglais de cuisine (littéralement). Bref, Goal II (à chaque but, un panneau clignote : «But !») se fout de notre goal.
Et Goodbye Bafanadonc... L'action se passe en 1968 au Guantánamo de concentration sud-africain Robben Island, dans l'âme d'un maton aryen commis à l'espionnage coercitif des «terroristes» noirs entendre les habitants immémoriaux du pays, réticents à son anne