Il ne faut pas médire de Nos amis les Terriens. C'est un petit Cube (série nazillonne surestimée). Cube 3 disons, revu Comment peut-on être persan animalier et corrigé Demain les chiens pour les fourmis.
Les Châtiments, plus consistant en connerie et insectes divertissants, est le titre déposé d'une oeuvre majeure du poète poids lourd Victor Hugo. Que fait la justice ? pense-t-on. Sur quoi, pris par le script et vu l'amphigouri métaphysique hugoloïde, on se dit qu'après tout les Châtiments du jour, à leur façon, rendent assez hommage au pontife «éclairant l'avenir».
Soit un bled d'Amérique profonde, Heaven, saisi de transe, infernale ou divine n'importe. La rivière du bled vire jus de boudin puant, poissons crevés aidant. Un garçon indigène, plus Délivrance que Tom Sawyer, mute momie tandis qu'une météo de cauchemar rejoue «les sept plaies d'Egypte» modernisées «l'Evangile selon saint-Mahom» à coups d'éléments déchaînés.
Cependant, un ensoutané maudit s'en mêle. Des asticots repris du dernier Argento grouillent avec du feu grégeois dans sa maison du bon Dieu, griffonnée de tags sataniques de génération spontanée, qu'il déchiffre à mesure dans un grimoire commode suant l'hérésie, enluminé d'infographies sulfureuses.
Ce cafard de temple qui nous rappelle quelque chose (Richelieu dans le D'Artagnan où Deneuve jouait du jambon, ou autre pédophile salvifique de thriller chrétinisant à la 66...) reçoit