Tout d'abord, honneur à Panda, petit Panda, d'Isao Takahata (le Tombeau des lucioles…), qui réunit deux moyens métrages kawaii du maître de l'animation japonaise et pote de Miyazaki. Plus recommandable en tout cas que Mission-G, de Hoyt H. Yeatman Jr., sur des cochons d'Inde formés par le gouvernement américain pour devenir des espions ultra-équipés. Slogan de ce dessin animé 3D de Disney : «Les Power Rongeurs débarquent.» On se demande quand même parfois quel genre de dope circule dans les studios pour avoir des idées pareilles.
Un groupe de jeunes femmes fait de la spéléologie et se retrouve bloqué par un éboulement. En tentant de remonter à la surface, elles tombent sur des créatures des ténèbres qui leur gâchent le week-end. C'était The Descent, film fantastique anglais de 2005 réalisé par Neil Marshall, plutôt une bonne surprise. La suite, The Descent : part 2, de Jon Harris, l'est beaucoup moins. Plus rien ne fonctionne dans cette exploitation du filon gore avec combats inégaux entre les cannibales des cavernes et les actrices épouvantées au milieu de geysers de sang.
Ayant obtenu un succès avec un film intitulé Mariages ! (2 millions d'entrées), Valérie Guignabodet s'est dit qu'il fallait continuer sur cette lancée avec Divorces. Le couple Jean Dujardin-Mathilde Seigner du premier est remplacé par François-Xavier Demaison (Coluche) et Pascale Arbillot (Coco), interprétant des avocats spécialisés dans le