Critique

«Rien à déclarer» : le Boon, la brute et le néant

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Après le succès phénoménal de «Bienvenue chez les Ch’tis», l’acteur-réalisateur tente le doublé avec «Rien à déclarer», comédie passéiste à l’heure de l’abolition des frontières.
publié le 26 janvier 2011 à 0h00
(mis à jour le 26 janvier 2011 à 7h26)

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