Judith Godrèche, Franck Dubosc, Jane Birkin, Jean Dujardin, Richard Berry, Arielle Dombasle et Isabelle Mergault ont reçu un prix en 2011, mais pet-être pas celui qu'ils espéraient. Lundi, ce sont les irrévérencieux Gérard du Cinéma qui étaient décernés, en direct sur Paris Première.
Les Gérard du désespoir féminin et masculin ont ainsi été décernés à Jane Birkin dans le film Thelma, Louise et Chantal, et à Franck Dubosc pour Camping 2.
Le Gérard du plus mauvais film de l'année a récompensé L'Immortel de Richard Berry, avec Jean Reno.
Ces prix potaches aux intitulés improbables récompensent «les plus gros navets du 7e art tricolore», selon les organisateurs à l'origine aussi des Gérard de la Télévision. Le jury est constitué de journalistes et de critiques dans un esprit très décalé assumé. Les prix sont des parpaings dorés de 8 kg.
Le «Gérard du film où on t'explique que le racisme, c'est pas bien !» a été décerné ex-aequo à La Rafle avec Mélanie Laurent et Hors la loi avec Jamel Debbouze.
Isabelle Mergault est la lauréate du «Gérard du réalisateur, quand tu vois ses films, ben t'as du mal à réaliser. Parce qu'en fait, lui aussi», tandis que le «Gérard du film guimauve que tu te forces à aller voir uniquement pour emballer une meuf» a distingué L'Arnacoeur avec Ro
Franck Dubosc, élu désespoir masculin du cinéma
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Franck Dubosc , le 27 mai 2006 lors du Festival de Cannes.
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publié le 22 février 2011 à 10h22
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