E.T., premier film vu au cinéma. Je rêvais d'avoir le même à la maison. La fascination pour son doigt, au bout orange, à la fois dégoûtant et attirant.

Dans Délivrance, de John Boorman, quand le personnage principal se fait sodomiser en faisant le porc.

Je n’ai pas de souvenir de cinéma lié à mes parents, excepté les films de famille en Super 8.

Dans Psychose, la scène du meurtre sous la douche. Depuis, je ne peux plus me laver les cheveux en fermant les yeux… Une scène fétiche, le roulé de gnocchi d'Andy Garcia dans la saga le Parrain, de Coppola.

Annie de John Huston.

Woody Allen qui souffle sur les omoplates de Julia Roberts, Chaplin qui sniffe de la drogue dans les Temps modernes.

Drew Barrymore, devant et derrière…

Jeanne d’Arc, parce qu’elle est déterminée, et Mary Poppins pour ses talents domestiques : j’aimerais l’engager à plein temps.

Une chambre en ville de Jacques Demy.

Tita nique, un remake de la superproduction de James Cameron, mais sur le registre pornographique, et sans effets spéciaux.

King Kong, parce que comme lui, je suis fragile et virile.

«La vie est boiteuse pour tout le monde, Alphonse, le cinéma est plus harmonieux que la vie, il n'y a pas d'embouteillage dans les films, les films sont comme des trains, des trains qui filent dans la nuit»,dans la Nuit américainede François Truffaut.

Cary Grant, James Dean, Steve McQueen, Marlon Brando, beaucoup. J’aurais adoré être un homm