Mon cher Libé, je suis la toute clôturante.
Vous décrire l'état de la «à la ramasse-team» de Libération est un défi littéraire qui ne me fait vraiment pas peur. D'abord le bureau cannois. Alors qu'il y a peine douze jours, c'était encore un ravissant manoir dans l'arrière-pays, ce qu'il en reste est amusant après les nombreux ravages qu'il a subis. Le jacuzzi bouché par des matières diverses, le sauna citant Stalker de Tarkovski ou, dans la nuit de samedi à dimanche, cet épisode farce. Je dormais du sommeil de la juste (en chien de fusil, dans mon petit appentis sous l'escalier) lorsque soudain un cri de Dark Vador déchira mes limbes : «Merrrrrdeueueu !» En français : un «critique», dans un état qui ne l'est pas moins, rentre à pas d'heure et à quatre pattes de la fête pour un film (mais lequel ? Mystère, j'ai tellement de maux dedans ma tête). Et là pas si bête, après s'être pris les pieds dans pas mal de choses (notamment la connexion wi-fi), il se dit que ce serait cool de faire la vaisselle, de lancer une lessive, de passer la serpillière et l'aspiro. Une vision. Et pas seulement sonore. Car en voyant la personne s'hallucinant en fée du logis ayant kiffé sa race de Monsieur Propre, j'ai compris l'hommage : Freddy Mercury dans le clip I Want To Break Free. Respect.
Pas trop par contre en ce qui concerne leurs «écrits», comme ils disent. Voir les deux pages précédentes ! No comment, c'est trop triste. C'est pas faute d'av