Critique

Un «voyage» flou d’amour

Après «Kaili Blues», Bi Gan signe un second film d’esthète, dans les pas d’un héros obsédé par le fantôme d’une femme jadis aimée. Une dérive déchirante et déchirée, entre couloirs de la mémoire et rues de sa ville natale, conclue par une folle prouesse en 3D.
publié le 29 janvier 2019 à 18h26
(mis à jour le 29 janvier 2019 à 19h07)

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