Critique

«Merveilles à Montfermeil», pour le meilleur et l’utopie

Pour sa première réalisation en solo, Jeanne Balibar retrouve l’esprit du cinéma politique des années 70 dans un film espiègle et généreux sur une équipe municipale inventant des projets novateurs.
publié le 7 janvier 2020 à 19h36

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