Critique

Ida Lupino, fée de société

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La ressortie en salles de trois films de l’une des rares femmes cinéastes des années 50 permet de redécouvrir une œuvre qui met au jour le masochisme d’un Hollywood corseté et traite de sujets difficiles tout en évitant les clichés du mélodrame.
publié le 6 octobre 2020 à 18h06

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