Le foetus fait cassation
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Début février, la Cour de cassation a donné raison à trois couples qui demandaient l'inscription à l'état civil de leurs foetus mort-nés. L'Association nationale des centres d'interruption de grossesse et de contraception (ANCIC) a déploré un «dérapage juridique» offert aux anti-IVG. Joëlle Lévy-Ortscheidt, psychanalyste, y voit l'effet de l'idéologie de la victime.