Critique

THEATRE. L'auteur allemand inspire les metteurs en scène. Après Jean-Louis Martinelli et avant Bruno Bayen, Michel Hermon, lui, monte «les Larmes amères de Petra Von Kant». Avec sincérité.Fassbinder, une Petra follement pétrifiée .

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publié le 12 septembre 1995 à 8h26

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