Interview
CINEMA. A l'occasion de la sortie simultanée de «Clockers» et «Crooklyn» sur les écrans français, Spike Lee dit son ras-le-bol de cinéaste catalogué porte-parole de la cause noire américaine.«Je ne suis le porte-parole de rien ni personne»
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publié le 1er décembre 1995 à 11h38