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De moins de 5 000 à 240 000 francs le clichéGuide pratique à l'usage du «client» de Paris Photo.

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publié le 18 novembre 1999 à 1h41

A Paris Photo, comme dans beaucoup de foires d'art, les prix ne sont

pas toujours affichés. Dans ce cas, il y a souvent une liste imprimée, disponible sur une table du stand. Consultez-la, au besoin, ça peut décomplexer et ça signifie, en général, que les tarifs indiqués sont négociables. Petit relevé à destination des amateurs, prêts à débourser francs, yens, pesetas ou dollars, pour acheter une (ou plusieurs) photographie, à tirage limité (ou non), certifié d'époque (le vintage) ou sortant à peine de l'ordinateur. En dessous de 5 000 francs Marti Llorens ou Aleydis Rispa (Kowasa, Espagne); Eric Dessert et son travail sur la Géorgie ou l'herbier de Paul den Hollander (Camera Obscura); Aitor Lata, tout jeune débutant (Juana de Aizpuru, Espagne); le Japon vu par Bernard Descamps (Le Réverbère 2); un joli Felice Beato aquarellé à la main, de 1870 (Hypnos); le Cirque selon Tina Mérandon (Agathe Gaillard); un petit format de Michael Ackerman ou une splendeur d'Antoine d'Agata (Vu'la galerie).

De 5 000 à 10 000 francs Des grands noms encore méconnus de la photographie espagnole, comme Agusti Centelles, Jorge Sara ou Pere Catala Pic (Kowasa); un tirage argentique de Louis Stettner, «les Bijoux de café St Augustine, Paris» (Marion Meyer); des nuages attrapés par le Japonais Yasuhiro Ishimoto (Camera Obscura); des oeuvres uniques de Beatrix von Conta (Le Réverbère 2).

Au-dessus de 10 000 francs Une photographie de Zoe Leonard, comme I love Pussy, tirée par elle-même, années 90 (Jenni