«Secret party» oblige, il est «formellement interdit» de dévoiler les futures dates/adresses des soirées évoquées. Heureusement pour ceux qui ne font pas partie des «happy few», l'esprit «convivialité urbaine» (entrée gratuite, consommations très abordables, atmosphère «bon enfant») commence à gagner un certain nombre de restaurants, bars ou boîtes dont les portes restent (à peu près) ouvertes. A Toulouse, le restaurant Pelouse Interdite, qui a bâti sa réputation sur son «adresse confidentielle» organise toute l'année des soirées gratuites «hypnotic house» à l'ambiance détonante. L'adresse, dans le quartier des Minimes, est un secret de polichinelle, même si le patron, Stéphane, interdit toujours aux journalistes de la publier. Se renseigner dans la ville. A Paris, l'exemple type de la soirée «comme à la maison» reste le jeudi soir au Pulp, et, une fois par mois, les Mercrediz#, organisés par Guido et Fabrice Desprez. DJ connus et inconnus se succèdent «dans un joyeux bordel» aux platines, avec en «warm up» des personnalités comme Helena Noguera, Mr Oizo, Béatrice Ardisson. L'entrée est gratuite, il est conseillé d'arriver tôt. Dans le même style, Frédéric Agostini, ex-initiateur des soirées Respect au Queen organise des soirées Starfucker (des non-DJ aux platines) dans un ancien bar à entraîneuses kitsch à souhait «quelque part près des Champs- Elysées». Pour l'adresse, se renseigner auprès d'un DJ. Enfin, toujours dans l'esprit «famille» et plus facile à trouver, Vincent T
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par Ondine Millot
publié le 14 décembre 2001 à 1h57
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