Menu
Libération

«Je ne suis pas la styliste de Cécilia»

Article réservé aux abonnés
publié le 25 mai 2007 à 7h56

On l'a vue hilare à côté de Cécilia, le soir où Nicolas Sarkozy, célébrant sa victoire au Fouquet's, a esquissé quelques pas de sirtaki devant son épouse ; on l'a vue à Brégançon, le week-end dernier, aller à la plage avec la première dame et l'accompagner pour quelque shopping à Saint-Tropez ; on l'a vue lors du repas organisé à l'Elysée par le président de la République : trois tables, que des intimes, et elle, à un mètre de Nicolas. Il se dit qu'elle était aussi de l'équipée maltaise, puis du séjour à la Lanterne, le domaine versaillais où les Sarkozy s'étaient retirés pour leur week-end postvictoire.

«Privée». L'inconnue en question, Mathilde Agostinelli, responsable de la communication chez Prada France, est un peu la nouvelle star cachée du pouvoir sarkozien, dont on suit les tribulations chaque semaine dans Paris Match. Une éminence grise ? «Pas du tout», nous répondait-elle hier. Cette jeune femme de 37 ans, qui refuse de rencontrer la presse et de s'exprimer sur sa relation «privée» avec les Sarkozy, «parce qu'on est dans la discrétion», explique cependant connaître le couple depuis «trois ans». Ils se sont rencontrés lors d'un déjeuner qui n'avait rien à voir avec Prada, et se fréquentent beaucoup depuis. Jusqu'à l'élection, ils avaient leurs habitudes dans un grand hôtel parisien situé près de la place Beauvau, ou bien «chez moi» raconte Mathilde. Mais à l'époque, «les paparazzi étaient moins nombreux».

Décrite comme