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«Je» est bon parce qu’il est moi

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Et si c’était un joueur de crapette, un lecteur passionné de la Princesse de Clèves, un gaffeur ou même un imposteur… Cet été, «Libération» a demandé à quatorze écrivains de se mettre dans la tête de notre président pour en explorer les facettes les plus folles. Aujourd’hui : Sarkozy le tout-puissant

publié le 29 juillet 2009 à 6h53

(mis à jour le 29 juillet 2009 à 6h53)

«Je» est bon parce qu’il est moi

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