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Françoise Hardy: «Un péché ? La paresse»

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Chassé-croisé avec la chanteuse en forme de portrait chinois.
Francoise Hardy, en avril 2010. (COLLECTION CHRISTOPHEL PHOTOTH/Collection ChristopheL via AFP)
publié le 27 mars 2010 à 0h00

Si vous étiez…

Un écrivain ? «Henry James.»

Un roman ? «Le Temps de l'innocence d'Edith Wharton ou encore le Jour enseveli de Rosamond Lehmann.»

Un héros de littérature ? «Le Don Juan de Carlos Castaneda.»

Un Beatles ? «Paul McCartney.»

Une région viticole ? «Le Bordelais.»

Un grand cru ? «Le Haut Condissas.»

Un chiffre ? «Le 9.»

Un mot ? «Vous. (Ce que j'aime en vous, c'est vous.)»

Une odeur ? «Celle du pain ou des croissants chauds.»

Un bruit ? «Un rire d'enfant.»

Une ville ? «Paris, Londres ou New York.»

Une couleur ? «Celle des blés évoquée par le renard du Petit Prince.»

Un paysage ? «Celui que l'on voit de ma maison en Corse: au premier plan, des fleurs et des arbres, puis le village et la vallée, et derrière la mer qui se confond avec le ciel…»

Un péché ? «La paresse.»

Une œuvre ? «Le Concerto pour piano n°2 de Rachmaninov.»

Un homme ou une femme politique ? «Hubert Védrine.»

Un pays rêvé ? «La Norvège.»

Si vous aviez :

Un super pouvoir ? «Celui de lire dans les cœurs et les pensées.»

Une autre vie ? «J'aimerais renaître dans un pays anglo-saxon.»

Un coup de cœur ? «Ce serait forcément un artiste, une musique ou un livre.»

La capacité à effacer un événement de votre existence ? «Il y en a tellement qui se sont effacés tout seuls !»

Un immense énervement ? «La propagande démagogique qui table sur l'ignorance de ceux