Menu
Libération

16e Biennale du Val-de-Marne : au nord toute

Article réservé aux abonnés
publié le 15 mars 2011 à 0h00

La 16e Biennale du Val-de-Marne consacrée à la danse contemporaine se tient jusqu'au 2 avril. On peut y voir, dans les 20 villes partenaires, 50 pièces dont 11 créations.

Pourquoi un focus «Danses en Nord»?

La danse belge a toujours ouvert des voies. Plus que jamais, elle est une force de proposition, comme le prouve la compagnie Mossoux-Bonté qui traverse tout le festival, ou les Peeping Tom qui entraînent l’assistance sur une terre gelée où se déroule un conte moderne, hanté par des démons. T.R.A.S.H. entretient aussi le désordre sans craindre la violence. La compagnie hollandaise développe le thème des relations corrompues et de l’empathie.

Qu’apporte la présence du chorégraphe associé Georges Momboye ?

En associant Momboye au Centre de développement chorégraphique (CDC) du Val-de-Marne, la structure lui offre des moyens de finaliser ses projets. Sa résidence se déroule dans le cadre du dispositif de la Permanence artistique et culturelle mis en place par la région Ile-de-France. Georges Momboye, de l'ethnie des We (ouest de la Côte-d'Ivoire), connaît parfaitement les danses traditionnelles qu'il ouvre sur un vocabulaire plus contemporain. Il présente Empreintes massaï, les 27 et 29 mars.

Où en sont les structures régionales ?

S’appuyant jusque-là sur des théâtres du département, le CDC va enfin disposer, début 2013, d’un lieu, la Briqueterie, situé à Vitry-sur-Seine. La première pierre a été posée et les