Critique

Maître du copier-coller

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Au musée d’Ajaccio, une exposition s’attache aux primitifs italiens, souvent reproduits, marché de l’art oblige. Mort en 1946, le faussaire de génie, Icilio Federico Joni, livre ses confidences posthumes.
publié le 14 septembre 2012 à 19h07

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