Art contemporain

Le metteur en scène Philippe Quesne annonce tirer sa révérence de la direction artistique de la salle de spectacle parisienne qu’il dirigeait depuis trois ans.

Le musée parisien présente des œuvres sur papier du maître de l’abstraction, peintes entre 1946 et 2004 et peu connues du grand public. Plus libre sur ce matériau, l’artiste y explore d’autres rivages.

Face à l’utilisation d’œuvres sous droits par les intelligences artificielles, les organismes représentant ­les artistes-auteurs réclament un cadre législatif contraignant. Des plaintes ont déjà été déposées.

Des artistes entament ce lundi 22 septembre dans le Limousin le tournage d’une œuvre collective insensée destinée à nourrir une IA, elle-même chargée de créer un film, pendant mille ans.

A Paris, la méconnue peintre colombienne, exilée en France avant sa mort, installe une flore riche et douce, ancêtre de l’écoféminisme.

Le Mo.co de Montpellier consacre une large rétrospective à la plasticienne française aujourd’hui reconnue pour son regard sans fard sur une jeunesse sans idéal.

L’artiste brésilienne réhabilite la figure de la Vénus noire, à travers une série d’images, d’autoportraits et de dessins où elle tente de se réapproprier une histoire empreinte de la violence coloniale.

Une exposition dans l’hôpital parisien entremêle avec délicatesse les œuvres de médecins, patients et artistes sensibles à la fragilité humaine.

A Paris, le peintre expose ses œuvres éclatantes et organiques où la nature se mélange à l’homme dans un univers subtil mais tortueux.

Le centre d’art situé en Normandie, présente jusqu’au 21 septembre une cinquantaine de lithographies et de gravures sur bois du cinéaste David Lynch. Un lieu de pèlerinage pour ses admirateurs endeuillés.

Anciennement directrice des Beaux-Arts de Paris, la conservatrice troque sur décision de Rachida Dati la prestigieuse école, où elle n’a pas été reconduite, pour le nouveau pôle de conservation et de création du centre Pompidou.

Au menu des expositions organisées à Paris et ailleurs en France cet automne : d’autres nouvelles de l’Amérique, des artistes femmes les doigts dans la prise du réel et des blockbusters revenus des siècles passés

Cartables, chaises ou agendas… Pour la rentrée, «Libé» retrace l’histoire de ces compagnons devenus iconiques d’une génération à une autre. Aujourd’hui, le semainier Quo Vadis redessiné par l’artiste Benjamin Vautier dans les années 1990.

Dans les années 70 et 80, douze photographes de Belo Horizonte ont saisi des instants de vie dans cette ville. Collectés par l’artiste Guilherme Cunha dans une exposition à Arles, les clichés exhument une histoire brésilienne oubliée.

Amis prodigieux (2/6). «Libé» invite des personnalités à faire le portrait de chers amis. Aujourd’hui, l’écrivaine loue l’humilité et l’amour du contraste de son ami artiste plasticien, croisé dans un PMU.

Combinaison de naturel et d’artificiel, les créations visionnaires du maître italien, mort en 2023, vivifient le Musée des impressionnismes.

Le nageur en slip de bain du tableau peint en 1972 par David Hockney condense dans sa chair vieillissante cinquante ans de libération homosexuelle.

Etudiantes en art, curatrices ou artistes, de nombreuses femmes dénoncent du harcèlement sexiste et des agressions sexuelles. Etat des lieux d’un secteur longtemps occulté de la prise de conscience #Metoo.

L’artiste américaine d’origine kenyane expose à Rome son imaginaire afrofuturiste, peuplant notamment son exposition de figures féminines à demi-humaines.

Dans la capitale égyptienne, plasticiens ou musiciens tentent de poursuivre leur pratique, composant avec leur nouvel environnement comme avec le spectre des guerres qu’ils ont laissées dans leur pays.

Une vingtaine d’installations gonflables d’artistes contemporains à la renommée internationale customisent le Grand Palais en foire ludique.

Le château de la ville d'Indre-et-Loire met à l’honneur le travail de l’artiste qui, par des associations grinçantes entre les images et les mots, trouble l’imagerie festive du Brésil pour en dénoncer les inégalités structurelles.

Dans l’exposition de l’artiste franco-italienne au Palazzo Grassi, le contraste entre le luxe de moyens déployés et les supposées revendications sociales frôle l’indécence. Loin de la poésie originelle de son œuvre.

Le musée de Sérignan présente une habile rétrospective de Sophie Calle, enfant du pays qui n’y avait jamais exposé.

La septième édition de l’événement lillois est placée sous le signe de la «fiesta». Sur les 30 expositions à découvrir dans la métropole, «Libération» en a identifié trois à consommer sans modération.

Dans une riche exposition, le musée des Beaux-Arts de Caen s’attelle aux frontières entre terre et ciel et ce qu’elles disent de l’évolution du monde, du Moyen Age à aujourd’hui.

Avec ses morceaux d’horizons faits de dégradés et de lignes floues, les tableaux aériens de l’artiste apaisent autant qu’ils nous éprouvent dans notre chair.

L’artiste portugaise revisite notamment à travers ses œuvres suspendues une histoire de l’art qui passe par des figures féminines oubliées.

Cent artistes, de Nina Childress à Jeff Koons, ont réinterprété une œuvre de leur choix au sein des collections du Louvre, livrant des propositions qui oscillent entre le scolaire et l’épatant.

Une rétrospective en 100 photos donne à voir tous les thèmes abordés par l'artiste sicilienne talentueuse et courageuse : la violence de la mafia, la misère, l’érotisme ou encore les malades.

Les photographes de cette 56e édition «indocile» du festival, qui se tient jusqu’au 5 octobre, avancent cette année aux côtés des exclus, des marginaux, des peuples colonisés.

Deux siècles après la photo de Nicéphore Niépce, la France s’apprête à célébrer cette invention qui a bouleversé notre vision du monde, explique la directrice du bicentenaire organisé par le ministère de la Culture.

L’exposition, rassemblant artistes autochtones et non-autochtones, met la lumière sur des photographes méconnus, attachés à peindre la pluralité de leur vaste territoire, dont l’histoire est inextricablement liée à la colonisation.

A la tour Luma sont exposés de superbes clichés de l’artiste mort en 2014, sensuels et intimes, où l’on croise de nombreuses figures de la contre-culture américaine des années 70-80.

La plasticienne franco-italienne, qui entretient la confusion entre l’espace et le temps, se raconte à travers ses lectures.

La photographe américaine de 71 ans a donné le ton de cette 56e édition avec un discours militant qui n’a pas pris une ride.

Le musée parisien consacre une formidable rétrospective à l’artiste brésilienne dont l’œuvre riche et protéiforme semble être en mouvement perpétuel.

Expositions, commandes publiques et privées, créations contemporaines… Ce savoir-faire textile multiséculaire connaît ces dernières années un regain d’intérêt croissant de la part d'institutions, créateurs et collectionneurs privés.

Le sculpteur français se multiplie à Avignon pour y disperser 250 de ses verreries monumentales.

A Paris, une exposition à la Fondation Pernod Ricard explore l’ambiguïté du lien maternel à travers les œuvres de plusieurs artistes.