En rebaptisant la foire, en nommant à sa tête Clément Delépine tout en reconduisant des fidèles au sein du comité de sélection, Marc Spiegler tente de réconcilier les générations et d’impulser une nouvelle énergie.

Le président du festival a présenté ce mercredi le programme d’une édition qui signe le retour à la «normalité» après deux années contrariées, et alors que la guerre en Ukraine souligne l’importance des photographes.

Malgré la mobilisation des artistes et les possibilités de départ, la plupart des acteurs du monde des arts plastiques ont décidé de rester en Ukraine, où ils participent à l’aide humanitaire et contribuent à l’écriture de l’histoire.

Dans une exposition énigmatique, l’artiste fait revivre les fantômes de son séjour, à la fin des années 70, dans l’hôtel désaffecté de la gare d’Orsay, mélangeant précis d’archéologie, histoires vraies et récits imaginaires.

A Paris, une expostion présente le travail de 6 artistes autour du peuple afghan, privilégiant la résilience et la beauté malgré tout.

Dans un récent rapport qui a ravi la profession, le ministère de la Culture préconise notamment la nécessaire «exemplarité» du secteur public dans la préférence nationale pour le choix des photographes.

Rencontre fleuve avec le photographe de quasi 80 ans, à l’affiche ces prochains mois de trois expositions, à Milan, Montpellier et à l’Institut du monde arabe à Paris, dans laquelle il revient sur les 60 ans de l’indépendance algérienne.

A Landerneau, une rétrospective partielle présente les œuvres de l’artiste et ses personnages insaisissables aux contours fragiles et aux regards noyés.

Au Consortium de Dijon, le duo rend hommage à son métier via une approche manuelle, enfantine et charnelle. Une manière de détourner l’art des grandes théories pour le rendre à ceux qui le font.

Témoin de mouvements sociaux qu’il retranscrit sous forme de portraits grand format, le photographe Bruno Serralongue invite à la réflexion politique au Frac d’Ile-de-France.

Dans sa série «White Shoes», la photographe Nona Faustine se met en scène dans les rues de l’Amérique esclavagiste.

Affaibli par la pandémie et plusieurs déconvenues, le centre d’art contemporain inaugure samedi une année de célébration, avec à sa tête un nouveau président réputé pour l’inventivité de ses formats d’exposition.

Le président du conseil départemental du Nord, dont dépend le musée qui devait prêter près de 250 œuvres, a invoqué le «climat géopolitique» et «la proximité entre la Chine et la Russie» pour justifier sa décision.

Plus visibles que leurs aînées, les créatrices font encore face à de nombreux freins dans leur carrière par rapport aux hommes. Les stéréotypes pour qualifier leur travail ont toujours cours.

L’artiste explique comment il a utilisé l’outil numérique pour concevoir son dernier projet nantais.

Avec «Mémoires d’un touriste», l’artiste investit la HAB Galerie avec ses vidéos, sculptures et personnages loufoques et enfantins.

Peintres, photographes, musiciens… Depuis une semaine, «Libération» a recueilli les propos d’artistes bouleversés par l’invasion russe de leur pays.

A l’occasion de sa rétrospective à la Fondation Cartier, la photographe mexicaine Graciela Iturbide, fascinée par la mort, commente pour «Libé» son travail, de ses œuvres de jeunesse aux tirages moins connus.

Le projet de l’artiste Manon de Boer et la chorégraphe Latifa Laâbissi, exposé au Frac de Bretagne, mêle conversations radiophoniques et ustensiles chinés, dans un ballet relaxant.

Ni reportage ni documentaire, le travail de Bertille Bak à Rennes met en lumière les conditions précaires dans lesquelles vivent les enfants habitués à travailler dans les mines.

A la galerie gb agency, à Paris, l’artiste expose sa version de la broderie palestinienne, artisanat surtout féminin, la faisant dériver des usages et rituels traditionnels.

Le Consortium Museum de Dijon consacre une rétrospective aux assemblages de l’artiste danois. Une œuvre où le rapiécé et l’inachevé sont sublimés.

L’artiste américain, pionnier de l’art conceptuel et critique rock, est mort samedi à 79 ans. Le vidéaste, photographe et architecte avait notamment bâti les «Pavillons», exposés un temps au centre Pompidou.

Mark Neville publie «Stop Tanks With Books. Call to Action», enquête photographique en Ukraine, où les habitants vivent constamment sous la menace de plus en plus insistante de la guerre.

La Maison Doisneau expose jusqu’au 30 avril la série «Angst». Le photographe indien y montre les hommes et femmes qui habitent les bas-fonds de la ville.

Au centre Pompidou-Metz, une exposition questionne l’évolution des méthodes d’apprentissage de l’art et explore les fertiles années 60 et 70 durant lesquelles un esprit libertaire et novateur animait les écoles.

Au centre Pompidou et à la Bourse de commerce, carte blanche est donnée au sculpteur qui dresse, avec ses œuvres aux dimensions dérangeantes, le portrait d’une Amérique désenchantée.

Partenariat inédit, l’exposition de l’Américain Charles Ray est présentée simultanément au centre Pompidou et à la Collection Pinault, situés à quelques mètres l’un de l’autre. Retour sur l’origine de cette double programmation.

La Cubaine s’était fait une place dans le milieu sexiste de la peinture minimaliste. Travaillant incognito sur ses toiles faites de triangles, rectangles, lignes brisées et couleurs contrastées pendant la majeure partie de sa carrière.

L’exposition «Loire» au Jeu de paume à Tours compile les séries du photographe prolifique réalisées entre 2001 et 2010, des paysages de campagne aux tonalités pastel.

Dans le dernier volet de son expo collective, Franck Balland met en valeur un «concept négatif» avec des œuvres sur l’épuisement général.

Dans son programme, la candidate propose de développer les médiathèques publiques destinées aux arts plastiques, permettant notamment d’emprunter des œuvres. Un dispositif pour démocratiser l’art contemporain qui n’est pas nouveau.

A Paris, la galerie Nathalie Obadia met à l’honneur les tableaux intimes et les compositions vibrantes du photographe.

A travers des œuvres qui fondent ou qu’elle fige sous verre, l’artiste mexicaine, qui expose en ce moment à Paris, fait taire le bruit du monde.

A la galerie Crèvecœur, l’artiste expose villages déserts et personnages désœuvrés, peints avec patience et attention.

La sixième édition du festival belge met en lumière la beauté et la fragilité des arbustes et forêts, du Canada à Singapour, en passant par la Finlande.

Le Centre de création contemporaine de Tours a sélectionné une quinzaine d’artistes européens qui entreprennent de scruter avec optimisme la perméabilité des biotopes professionnel, social et intime à travers des dessins et vidéos.

Clichés d’inconnus à Jérusalem ou portraits de membres de sa famille… Le photographe dévoile un travail très personnel sur l’identité juive dans l’exposition «Voyages de mémoire» au musée d’Art et d’Histoire du judaïsme.

Après des semaines de suspense, la Réunion des musées nationaux-Grand Palais a tranché, ce mercredi, pour l’attribution du salon d’art contemporain parisien au candidat bâlois. RX France conserve en revanche Paris Photo pour sept ans.

Le jeune sculpteur continue son travail sur la mémoire et ravive les mythologies dans une belle exposition à Arles.