«C’est la première fois que l’on vous voit en quatre ans !» Voilà les mots que des membres du personnel ont adressés à Laurence des Cars dimanche 19 octobre, lors d’une rencontre en urgence au Louvre avec les équipes. Sous pression depuis le braquage des bijoux de la galerie d’Apollon – une perte évaluée à 88 millions d’euros –, la présidente-directrice du musée le plus visité du monde est soudain sous le feu des projecteurs, obligée de sortir de l’ombre – elle est auditionnée par le Sénat ce mercredi 22 octobre –, alors même qu’elle est réputée réservée. D’autres préfèrent la dire «distante», voire «hautaine», ne «saluant pas les gens qu’elle croise».
Première femme à la tête du Louvre depuis sa créati