Dans «En chair et en fer», le dessinateur met en scène une étrange amitié entre un homme et une machine.

L’auteur de bande dessinée qui a notamment signé les dessins de la série de science-fiction «Valérian et Laureline» est mort à l’âge de 83 ans dans la nuit de samedi à dimanche, a annoncé son éditeur Dargaud.

Notre dessinateur-candidat n’envisage pas d’emmener sa famille en vacances pendant la campagne.

Sur son compte Instagram et bientôt en librairie, le dessinateur issu des Beaux-Arts met son trait gracieux au service de gags à la sauce pop culture et humour antifa.

Dans sa deuxième bande dessinée, Joe Kessler signe un splendide et dramatique récit de famille recomposée avec un homme à tête d’oiseau, où le chatoyant côtoie le cafardeux.

Les enfants de notre dessinateur constituent une équipe de campagne de choc.

Les deux temps forts de cette édition 2022, qui s’annonce très riche, devraient être la grande rétrospective Chris Ware, vainqueur du grand prix de la ville d’Angoulême l’an dernier, et celle consacrée au travail du Japonais Shigeru Mizuki.

Dans une première BD long format grivoise et pleine d’humour noir, la Germano-Américaine Elizabeth Pich imagine les drôles de mésaventures d’une héroïne gaffeuse et bordélique.

Pas sûr que les vœux de notre dessinateur à ses cher·e·s compatriotes constituent un bon début de campagne

Prévu fin janvier 2022 après avoir été annulé en 2021, le festival va être reporté après les annonces du gouvernement. «Sans une aide d’urgence de l’Etat, c’est le futur du festival qui est menacé», estime son président, Franck Boudoux.

Notre dessinateur invente le concept de «slow politique». Ça énerve grandement sa fille.

«L’oiseau canadèche» de Jim Dodge fait l’objet d’une réédition, illustrée par Tom Haugomat, qui mêle récit et dessins rêveurs de paysages minimalistes.

Inventaire non exhaustif des ouvrages graphiques qui ont transporté, surpris ou séduit «Libé» cette année. A scruter sans modération pour vos achats de Noël.

A l’occasion de la sortie de «Maxiplotte» en novembre, l’anthologie de ses «Dirty Plotte», l’autrice québécoise revient sur son parcours, de ses débuts aux Beaux-Arts à son abandon de la bande dessinée pour une œuvre moins codifiée.

Julie Doucet a promené son trait furieux, son autofiction crade et son ultraviolence dans le comics alternatif des années 90, laissant une empreinte durable sur la BD indépendante. L’Association édite une anthologie de ses «Dirty Plotte».

Michael DeForge décrit un monde élastique étouffé par la technologie, sans espoir de révolte.

Petit objet atmosphérique et élégant, le jeu-BD conçu par la Danoise Ida Hartmann raconte une saison estivale désastreuse et angoissée d’une célibataire.

Inspiré tant par les figures historiques que par les gros losers, le prolifique auteur de «Fante Bukowski» raconte comment ses longues années de galère ont alimenté son écriture et comment il a soigné son propre ego surdimensionné.

Une anthologie rassemble les trois tomes de la superbe série de l’Américain Noah Van Sciver dont l’irritant héros, englué dans sa posture d’écrivain maudit, évolue aux côtés de personnages secondaires tout en nuances.

Joann Sfar et Mathieu Sapin donnent rendez-vous aux lecteurs de « Libération » avec des strips inédits en réaction à l’actualité de la présidentielle.

Récit du déracinement d’une jeune gymnaste ukrainienne, le film d’Elie Grappe compense un scénario un peu trop balisé par de beaux moments d’instabilité.

Joann Sfar et Mathieu Sapin donnent rendez-vous aux lecteurs de « Libération » avec des strips inédits en réaction à l’actualité de la présidentielle.

Des livres, des jeux, des films dans l’actu… C’est le vite vu des pages Images de «Libération». Cette semaine, une chambre bien rangée, Tom Hanks dans l’apocalypse, du «jump scare» et un ciel orangeade.

Entre Paris et Bruxelles, écriture et édition, bande dessinée, essais et biographies, tentative de saisir l’essence d’un homme de lettres aux multiples facettes et casquettes.

Joann Sfar et Mathieu Sapin donnent rendez-vous aux lecteurs de « Libération » avec des strips inédits en réaction à l’actualité de la présidentielle.

Dans un album interactif, la dessinatrice invite à suivre son parcours pour être publiée, révélant ainsi le mal-être de toute une profession. Probablement le meilleur de l’année.

Joann Sfar et Mathieu Sapin donnent rendez-vous aux lecteurs de « Libération » avec des strips inédits en réaction à l’actualité de la présidentielle.

Dans sa dernière BD, en librairie le 4 novembre, l’auteur et dessinateur retrace le parcours de son comédien fétiche, ado lambda lors du tournage des «Beaux Gosses», aujourd’hui star de cinéma. Un voyage au pays de la célébrité.

Retraçant l’histoire d’un réseau clandestin pendant la Seconde Guerre, Simon Roussin, au dessin, et Louise Moaty et Raphaël Meltz, au scénario, signent un objet magnifique aux antipodes du récit historique et de ses figures imposées.

La chanteuse, fille de l’artiste défunt Daniel Balavoine, raconte son long combat contre la drogue et l’addiction.

Anne Goscinny, qui gère les droits sur le célèbre Gaulois, a révélé au Spiegel qu’elle avait mis la main sur 20 pages d’une histoire à laquelle son père travaillait au moment de sa mort.

Avec pour point de départ une ménagerie lubrique embarquée sur l’arche de Noé, l’autrice passe très librement au rouleau compresseur un épisode biblique où il s’agit de repeupler la Terre.

Dans une BD de DC Comics, à paraître fin décembre, le fils du super-héros affiche son amour pour un reporter. Une volonté pour les comics d’aller vers davantage de représentativité ?

Porte-voix de la mouvance queer libanaise, l’auteur explore, à travers son héros Samar, les peurs et les doutes d’une jeunesse meurtrie par l’homophobie, le chômage et la guerre, qu’il exorcise dans une œuvre forte en poésie.

Le mangaka, cofondateur de l’Atelier du gekiga, est mort vendredi à 84 ans. Partisan d’une création collective, à la manière de l’industrie du cinéma, il avait créé «Golgo 13», sa série phare et fleuve qui lui survivra.

Le festival corse explore la façon dont les jeunes dessinateurs mettent en scène l’architecture, en regard notamment de maîtres du genre tels le duo Schuiten et Peeters, créateur des «Cités obscures».

Le mythique magazine ressort sous forme de mook trimestriel. Un retour trop scolaire faisant regretter l’inspiration punk de l’original.

Le dessinateur allemand s’attaque à un monument de la BD française avec un Lucky Luke à sa patte gay affirmée, tout en déplorant une époque devenue plus compliquée pour l’humour.

Marcello Quintanilha peint en teintes technicolor la relation explosive d’une mère et de sa fille dans une favela de Rio.

L’acteur, mort ce lundi à 88 ans, a inspiré de nombreux dessinateurs, incarnant dans leurs pages une masculinité magnétique.