Filmant un parricide inspiré de faits réels, Francesco Costabile tente d’illustrer le cercle de la violence intrafamiliale mais ne réussit qu’à réaliser une ignoble délectation.

Bizarroïde, alambiqué, saturé de références, le premier long métrage du cinéaste américain fait le portrait d’une jeune mère encline à la paranoïa.

Un jeune homme se prétend porteur de handicap dans le perturbant premier long métrage du cinéaste argentin, interrogant le sens qu’on prête à la différence et à la norme.

Redécouverte récemment, la glamourissime star passa sa vie à tenter de repousser les limites de rôles marqués par l’orientalisme et les préjugés. Une rétrospective revient sur sa carrière entre Hollywood et l’Europe.

Adaptant un roman d’Aharon Appelfeld, le cinéaste filme l’histoire d’un enfant juif caché chez une prostituée où défilent soldats allemands et collabos dans l’Ukraine de 1943. Une œuvre hantée sur l’enfance et les énigmes du monde.

Dénué d’ambition cinématographique, le premier film de Chris Andrews joue au parfait thriller sans parvenir à dépasser les clichés, et l’acteur irlandais dans le rôle du fils rebelle ne suffit pas à éviter la catastrophe.

L’académie a énoncé lundi 21 avril une série de mesures, dont l’obligation pour les votants de visionner toutes les œuvres sélectionnées. Elle s’est également prononcée sur l’usage de l’intelligence artificielle.

Après le succès du blockbuster «Barbie» dans lequel il incarnait Ken, l’acteur canadien sera la tête d’affiche d’un nouvel opus de la saga, dont la sortie en salle est prévue en mai 2027.

Morte mercredi 16 avril à Gaza lors d’une frappe israélienne, la jeune femme de 25 ans est la protagoniste du film «Put Your Soul on Your Hand and Walk» de Sepideh Farsi, qui sera projeté dans la sélection de l’Acid du Festival, en mai.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 16 avril avec aussi «le Mélange des genres», «Festa Major», «Kyuka», «Comment devenir riche (grâce à sa grand-mère)» , «Lettres siciliennes» et «Dimanches». Bandes-annonces à l’appui.

Le beau film de ­Jean-Baptiste Alazard rend hommage à son village occitan, où, à la faveur d’une cérémonie ancestrale, ses habitants se reconnectent à leurs racines entre spiritualité et ivresse de toutes sortes.

Sensible, ingénieuse et inventive, la réalisation de l’autodidacte Kostis Charamountanis apporte, à un récit de vacances en famille, une profondeur inattendue.

Dernier volet d’une trilogie sur la mafia, cette comédie retourne contre les bandits du milieux leur grandiloquence bouffée aux mythes.

A la suite des annonces de la sélection officielle, la Semaine de la critique, la Quinzaine des cinéastes et l’Acid ont toutes révélé leur programme pour cette 78ᵉ édition qui se tiendra du 13 au 24 mai 2025.

Les films de deux jeunes cinéastes, l’un Ouzbek, l’autre Thaïlandais, dépeignent les relations, ou leur absence cruelle, entre petits-enfants et aïeux.

Plastiquement stupéfiant, le long métrage d’Athiná Rachél Tsangári dépeint le tiraillement au cœur d’un village de l’Ecosse médiévale menacé par la venue d’un seigneur aux prétentions capitalistes.

La cinéaste revient sur son histoire familiale, une autoroute qui a détruit la ferme de ses grands-parents et motivé le film. Mais aussi sur la création des conditions de tournage en Ecosse, comme une troupe de théâtre, «cohérente politique

Suivant une flic infiltrée dans un collectif féministe, la comédie de Michel Leclerc finit par reconduire les stéréotypes qu’il prétend déconstruire.

D’une enfance rurale à la rencontre avec une bande d’amies qui deviendront les Femen, Charlène Favier s’embourbe en retraçant la vie hors du commun d’Oksana Chatchko.

Mélangeant sans sourciller action et horreur, blues et basses électroniques dans le Mississippi des années 1920, le film mutant de Ryan Coogler ressemble à un exercice de style daté.

Le cinéaste canadien, récompensé par un Ours d’Or en 1974, est décédé le 10 avril à l’âge de 94 ans.

Les réalisateurs Maryam Moghadam et Behtash Sanaeeha dont le dernier a été salué par la critique en France étaient visés par une procédure pour «propagande contre le régime», et «obscénité».

L’ancien producteur hollywoodien, dont la première condamnation en 2020 a été annulée, aura droit à un nouveau procès, à partir du mardi 15 avril, à New York. Il reste détenu en raison d’une seconde condamnation en 2023.

Le géant américain Netflix a annoncé vendredi avoir déposé un recours au Conseil d'Etat pour contester la chronologie des médias, qui encadre les délais à partir duquel un film peut être diffusé après sa sortie en salles en France.

La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé consacre un cycle à l’actrice qui affola les années 20 et 30 en Allemagne puis à Hollywood, tant par ses rôles sensuels que par sa liberté. Nonobstant son image de séductrice, elle se montra

Le tribunal correctionnel de Nîmes a infligé, ce vendredi 11 avril, une amende de 52 000 euros à la société Radar Films pour avoir causé la destruction de 520 œufs de l’oiseau protégé et classé comme «vulnérable», lors du tournage en 2018.

Dans une ambiance de nuit américaine, la liste des films sélectionnés pour le Festival, en mai, ont été égrainés ce jeudi à Paris. Un couperet scindant les rêves retenus, écartés, suspendus ou brisés dans le saint des saints du cinéma.

Oppressions politiques et sociales, combat contre la maladie… Les thèmes de la plupart des films choisis par le jury pour la 78e édition qui se déroulera du 13 au 24 mai ne vont pas alléger l’ambiance d’une époque chargée.

Ce mercredi 9 avril à partir de 12h30, Libération vous apprend à réaliser un film écoresponsable en compagnie de Manon Biancarelli, assistante de production chez Bonne pioche, et Pervenche Beurier, déléguée générale du label Ecoprod.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 9 avril 2025 avec aussi «la Jeune Femme à l’aiguille», «Voyage avec mon père», «Mikado», «Sebastian», «Bergers». Bandes-annonces à l’appui.

Gentillet et apolitique, le film de Baya Kasmi narre la rencontre d’une famille nomade antisystème et d’un prof qui les héberge dans le sud de la France.

Fable sur le patriarcat, les violences sexuelles et la censure, le «Barbie chinois» est salutaire mais excessivement inoffensif.

David Yarovesky teste les limites psychologiques de son personnage, torturé par le propriétaire de la voiture qu’il comptait voler, dans un huis-clos sans vitalité ni imagination.

Récit des aventures intimes d’un jeune homme écrivain et travailleur du sexe, le séduisant long métrage indé de Mikko Makela finit par se complaire dans une beauté lisse.

Un film gris-maronnasse où une journaliste new-yorkaise et son père survivant d’Auschwitz se rendent en Pologne, et une comédie humaine biberonné au lait de brebis bio AOP dans laquelle un publicitaire se reconvertit en berger.

La star américaine fera à nouveau son apparition lors du prestigieux festival le 14 mai prochain pour y présenter, hors compétition, le tout dernier film de la saga. «Mission : Impossible - The Final Reckoning» sortira en salles le 21 mai.

Le cinéaste revient sur le tournage du «Village aux portes du paradis», premier film somalien montré au Festival de Cannes, marqué par la spontanéité dans le choix des plans et la recherche de solutions créatives.

Le cinéaste somalien Mo Harawe filme ses personnages, son pays et le vent dans un premier long métrage poétique et obstiné.

Alors que le long métrage de Nelson Foix cartonne dans l’archipel, signe d’une demande pour des récits non formatés pour l’Hexagone, les aides du CNC et la région vont baisser cette année.

A la fois mal aimable et d’une beauté sombre, le film sur l’existence misérable d’une couturière danoise est aussi empreint d’espoir.