Avec sept récompenses, dont celles du meilleur film et de la meilleure réalisation, Jacques Audiard a survolé la cérémonie, suivi par «l’Histoire de Souleymane», qui a obtenu quatre prix.

La 50e cérémonie des prix du cinéma français, présidée par Catherine Deneuve et présentée par Jean-Pascal Zadi, c’est ce soir ! Suivez la cérémonie et les récompenses attribuées au cours de la soirée. En bonus : le palmarès de nos lecteurs.

La star du cinéma américain Gene Hackman, 95 ans, a été retrouvé mort au côté de son épouse mercredi 26 février dans des circonstances encore floues.

La 50e cérémonie des césars a lieu ce vendredi 28 février à Paris. Au cours de la soirée, les nommés de 24 catégories seront départagés selon un processus de vote ouvert depuis début janvier et qui prendra fin ce vendredi à 16 heures.

Pour la cérémonie, qui fête ce vendredi 28 février son cinquantième anniversaire, le service culture de «Libération» prophétise les gagnants, livre ses propres trophées.

Devenu star sur le tard avec «French Connection», l’acteur rugueux, figure du Nouvel Hollywood, a été retrouvé mort mercredi 26 février dans sa maison avec sa femme, la pianiste Betsy Arakawa. Il avait 95 ans et elle 63.

Sensation aux Etats-Unis, le récit d’une amitié entre deux jeunes noirs dans un pensionnat de l’Amérique ségrégationniste, adapté du roman de Colson Whitehead, est discrètement bazardé en streaming ici-bas.

Le cinéaste documentariste est mort à 80 ans, le 12 février. Son ami de cinquante ans, le metteur en scène Nicolas Philibert, rend hommage à celui qui a su remarquablement filmer l’absence, la rareté, la fragilité, au long de ses 35 films.

La 50e cérémonie des récompenses du cinéma français, présentée par Jean-Pascal Zadi, aura lieu vendredi soir. Retrouvez ici les nommés pour les 24 catégories et faites vos pronostics avec «Libé» jusqu’à vendredi 17h.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 26 février avec aussi «Queer» de Luca Guadagnino et «Maman déchire» d’Emilie Brisavoine. Bandes-annonces à l’appui.

Mêlant archives familiales et images récentes de Meaud, rebelle éternelle, la réalisatrice figure dans un documentaire sa quête de réparation tous azimuts et un brin décalée.

Le documentaire sur les débuts du groupe anglais met de côté récit et anecdotes pour se concentrer sur les prestations scéniques au travers de spectaculaires images d’archives.

Le tout premier film du cinéaste mexicain, conte charmant et mélancolique préfigurant son statut de maître du fantastique, sort enfin dans les salles françaises.

Venue du théâtre, Judith Davis raconte la genèse de son deuxième long métrage, nourrie d’indignation, de lieux d’utopie anticapitaliste et d’expériences universelles.

Peinture de néoruraux enthousiastes confrontés à des idéaux contrariés, le deuxième long métrage loufoque et touchant de Judith Davis est infusé par les aventures et les improvisations du collectif théâtral l’Avantage du doute.

En difficulté financière, le groupe spécialisé dans l’animation a été placé en redressement judiciaire en France et subit depuis lundi une procédure similaire au Royaume-Uni, menaçant des milliers d’emplois. Les Etats-Unis pourraient suivre

En fantôme errant dans les rues de Tokyo, l’actrice et présidente de la cérémonie des césars 2025 étonne dans un film curieux mais particulièrement séduisant.

Le cinéaste italien rate son adaptation du trip à l’ayahuasca autobiographique de William S. Burroughs, transformant l’inspiration clinique de l’auteur en imageries glamours.

Marqué par le suicide de son fils, le comédien et réalisateur lui rend hommage dans un documentaire à travers un périple amical à bicyclette.

Pour cette 75e édition, les «femmes derrière et devant la caméra» ont fait forte impression. Parmi les autres films distingués, le road trip brésilien «O Ultimo Azul» ou Radu Jude pour le radical «Kontinental 25».

Dans un film longtemps invisible et enfin restauré, Robert Bresson nimbe d’une splendide noirceur les amours fantasmées de deux idéalistes.

Le festival de cinéma féministe est menacé par la suppression brutale d’une subvention du Val-de-Marne représentant un quart de son budget.

Relecture désenchantée de l’utopie américaine, le film de Robert Altman, qui campe le héros de la conquête de l’Ouest en showrunner mégalo, ressort en salles.

Avant la sortie mercredi de «A Real Pain» où deux cousins partent sur les traces de leur grand-mère rescapée de la Shoah, le cinéaste revient sur son tournage en Pologne et sur les méthodes de Kieran Culkin, son génial partenaire à l'écran.

Né de l’oisiveté de deux acteurs confinés, le film disponible sur Mubi suit les préparatifs et la mise en scène de la pièce de Shakespeare au sein du célèbre jeu vidéo. Burlesque et surprenant.

Le duo Brocoli-Wilson qui gère depuis des décennies le patrimoine etLe duo Broccoli-Wilson les créations autour de l’agent 007 vient de perdre le contrôle de la franchise, désormais entre les mains du studio Amazon MGM. Un changement d’ère.

Dans son nouveau film sorti discrètement sur Prime Vidéo, le Japonais raconte deux fois la même histoire, sur un mode d’abord stoïque puis parodique. Une expérimentation plus étonnante que réussie, malgré de rares moments de bravoure.

Eclaireur engagé d’une nouvelle ère pour le cinéma africain, prix du jury à Cannes pour «Yeelen» en 1987, le cinéaste malien était l’auteur d’une œuvre pionnière et magistrale. Il est mort le 19 février, à 84 ans.

Autodidacte ayant cherché dans les destins d’artistes ou de rebelles, comme Rimbaud ou Che Guevara, quelques alter ego pour traduire ses questions et angoisses, le documentariste est mort le 12 février à 80 ans.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 19 février avec aussi «Mercato» de Tristan Séguéla, «l’Attachement» de Carine Tardieu, et «It’s Okay» de Kim Hye-young. Bandes-annonces à l’appui.

Dans un beau documentaire doux-amer, Nicolas Burlaud entremêle les luttes du collectif marseillais Primitivi et sa psyché bouleversée par une crise d’épilepsie.

La cinéaste coréenne Kim Hye-young s’essaie maladroitement au teen-movie, entre clichés éculés et fantaisie forcée.

Le film de Joachim Lang expose les rouages de la propagande nazie en mêlant audacieusement archives et fiction.

Avec la scintillante «Tour de Glace» de Lucile Hadzihalilovic, la compétition berlinoise s’ouvre aux grands gestes formalistes et marque un retour des auteurs américains, de biopic poussiéreux en anxiogène drame de la maternité.

Partant de la relation d’affection entre une quinqua sans enfants et le fils de ses voisins, Carine Tardieu dépeint, dans un mélodrame sans démonstration de force, une ronde intime de deuils et rencontres.

Pendant que le géant Amazon et les propriétaires historiques de la franchise s’enlisent dans leurs désaccords sur l’avenir de l’espion, un magnat de l’immobilier autrichien manœuvre pour s’emparer de l’agent 007.

Dans «September & July», son premier long métrage, la cinéaste s’attache à filmer des personnages mis soigneusement en scène pour aborder certains sujets, comme la sexualité, de manière frontale et organique.

L’actrice Ariane Labed signe un premier long ­métrage aux allures de teen-movie tordu sur le lien entre deux adolescentes inadaptées au monde qui ­les entoure. Une chronique cruelle qui oscille ­entre sororité et emprise.

Poussée par Albert Serra, la chanteuse et actrice, prochainement aux Bouffes du Nord à Paris, sort un nouvel album empreint de gravité qui explore des étapes marquantes de sa vie.

Le long métrage au scénario bancal manque de justesse pour dépeindre un agent de footballeurs acculé par les dettes. Le film s’en sort grâce à un Jamel Debbouze fidèle à ses vieux tours.