Victime d’un viol en 1957, la star italienne a toujours su, derrière l’évidence voluptueuse des ses apparitions à l’écran, se montrer ferme face aux avances des réalisateurs comme des acteurs reconnus.

Jeune femme extravertie, prostituée dans l’Ouest américain, retour sur les rôles marquants de l’actrice morte lundi 23 septembre à 87 ans.

A travers le destin de Fatma Hassouna, jeune photojournaliste tuée, la cinéaste franco-iranienne alerte sur la situation dans l’enclave palestinienne.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 24 septembre, avec aussi «Muganga, celui qui soigne», «TKT», «Classe moyenne», «A 2 000 mètres d’Andriivka»… Bandes-annonces à l’appui.

Pour son premier long métrage de fiction, le réalisateur malgache Luck Razanajaona explore l’histoire de son pays, dans les pas d’un jeune héros qui retourne dans sa ville natale.

Drame funèbre et fantastique reprenant les codes du teen movie, le dernier film avec Emilie Dequenne aborde avec justesse les fardeaux de l’adolescence.

L’acteur mort la semaine passée était le représentant idéalisé d’une gauche américaine moribonde qui voit son universalisme menacé par les inclinations victimaires et identitaires.

Du «Guépard» à «Huit et demi», la star devenue actrice sans le vouloir, a illuminé de sa beauté sauvage et de sa voix rauque plus de 150 films et de nombreux chefs-d’œuvre du cinéma. Elle est morte ce mardi 23 septembre à 87 ans.

Dans un conte moral où on ne sait jamais, plan après plan, ce qui va nous tomber dessus, le cinéaste met en scène le dilemme d’une huissière face à un suicidé en Transylvanie.

Le documentaire de la cinéaste iranienne consacré à la photographe palestinienne Fatma Hassona, tuée en avril par un missile israélien, fait ressentir intimement l’enfer où se débat la population de l’enclave.

A l'occasion de la sortie d'«Une bataille après l’autre», librement inspiré du roman «Vineland» de Thomas Pynchon, le cinéaste américain revient pour «Libération» sur la réalisation de son premier film d’action, intensément politique.

Dans le premier film d’action de Paul Thomas Anderson,­ un ex-activiste artificier est confronté à la disparition de sa fille, tandis que son pire ennemi, suprémaciste blanc, refait surface. Un blockbuster déjanté et explosif.

«Libé» a rencontré le gynécologue congolais, engagé depuis toujours dans la lutte contre les violences faites aux femmes dans son pays. En exil, le prix Nobel de la paix éveille les consciences sur le sort oublié des milliers de victimes.

Participation à un festival de cinéma à Moscou, sortie d’un premier roman et évocations bavardes de soirées chez Jeffrey Epstein… Le cinéaste et comédien de 89 ans accusé d’agression sexuelle joue les prolongations kamikazes.

Face à l’annonce du rachat du géant français par Canal +, qui consolide l’hégémonie de Vincent Bolloré, l’industrie s’inquiète d’une position de force inédite au détriment de la diversité de l’offre.

Révélée dans «En thérapie», cette actrice de 23 ans a l’étrangeté poétique et douce de son décalage.

L’auteur d’«Inception» et «Oppenheimer», connu pour sa défense du cinéma en salles, a été élu samedi 20 septembre président de la DGA afin de défendre les intérêts d’une corporation confrontée à des mutations accélérées.

Quarante ans après sa sortie, le quasi-porno post-apocalyptique, pur produit de la contre-culture des années Reagan, reste d’une pertinence déconcertante.

Trois œuvres de jeunesse de la figure de la Nouvelle Vague tchécoslovaque, où elle impose son style indocile, avec une attention constante à la condition des femmes, ressortent en salles.

Le cinéaste iranien, qui a reçu la palme d’or 2025 pour son film tourné clandestinement dans le pays sous le joug des mollahs, n’avait jamais concouru pour une statuette américaine.

Des documents rendus publics le mardi 16 septembre révèlent l’identité, jusqu’ici censurée, d’un des contributeurs au «Birthday book» constitué par Ghislaine Maxwell pour son compagnon et complice Jeffrey Epstein.

Le film «The Sea», tourné en arabe et en hébreu, est le grand vainqueur de la cérémonie, équivalente aux césars en Israël. Le gouvernement a annoncé supprimer les aides à l’académie des Ophir.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 17 septembre, avec aussi «l’intérêt d’Adam», «les tourmentés», «Left-handed girl», «Demon Slayer : la Forteresse infinie». Bandes-annonces à l’appui.

Rêverie séduisante et glacée sur le vampirisme féminin, qui s’épuise hélas dans l’artifice, le quatrième long métrage de Lucile Hadzihalilovic conte l’obsession d’une ado de la campagne pour une star fatale jouée par Marion Cotillard.

Bien qu’il fustige violemment son pays, le film du cinéaste a bénéficié de financements publics israéliens et participerait ainsi, selon les partisans du boycott, à la «normalisation» d’un «système colonial».

La Belge Laura Wandel questionne l’obsession naissante d’une infirmière, portée par la puissante Léa Drucker, pour une mère maltraitant son enfant.

Beau et intelligent, le long métrage de Shih-Ching Tsou dessine les galères d’une gamine taïwanaise et de deux femmes de sa famille, des dettes qui s’accumulent aux vieux mensonges.

Le cinéaste français fait de Niels Schneider, ex-légionnaire paumé, la proie d’une millionnaire braconnière campée par Linh-Dan Pham dans un thriller curieux mais efficace.

Gangster charmeur, homme traqué ou journaliste héroïsé, retour sur les rôles marquants de l’acteur et réalisateur, disparu ce mardi 16 septembre à 89 ans.

Créé dans l’horreur du monde post-7 Octobre, menacé de censure dans son pays, le film contestataire du cinéaste israélien sort ce mercredi à l’issue d’un parcours d’obstacles. Récit d’une production jusqu’au-boutiste.

Crise morale d’un artiste bouffon à Tel-Aviv qui écume les fêtes de l’oligarchie militaire, le long métrage de Nadav Lapid mène une charge acerbe contre la guerre d’Israël à Gaza.

Porté par la révélation Théodore Pellerin, le premier long métrage de Pauline Loquès dessine le portrait sensible d’un jeune homme lambda dont le quotidien se déforme lentement lorsqu’il apprend être atteint d’un cancer.

Icône dans les années 1970 d’un cinéma américain à la fois engagé et triomphant, incarnation (trop) parfaite du cow-boy blond et séducteur, la star des «Hommes du Président» et des «Trois Jours du Condor» est morte ce mardi à 89 ans.

Succès fracassant en Asie, le premier film d’une trilogie adaptée du manga d’action sort mercredi en France. Fort d’effets spéciaux barjos, il participe de l’émergence d’un nouveau langage de l’anime.

Le cinéaste californien ressort sa «Teenage Apocalypse Trilogy» en version restaurée. Trois films emblématiques qui dressent un portrait de la jeunesse des années 90, entre romantisme exacerbé et sexe débridé, ultraviolence et surréalisme.

Personnalité du doublage, celui qui était aussi musicien et directeur artistique a succombé à une maladie jeudi 11 septembre, à 62 ans.

Le CNC a publié mercredi la liste des œuvres susceptibles de concourir dans la catégorie du meilleur film international.

De Joaquin Phoenix à Emma Stone, plus de 3800 figures du cinéma ont signé l’engagement au boycott paru dans «the Guardian» lundi. Les représentants de l’association des scénaristes israéliens jugent le geste «contre-productif».

En voulant restituer fidèlement l’expérience physique de la free party dans sa globalité, David Letellier, à l’œuvre derrière la bande originale de «Sirât», élève par son art sonore un film déjà grand.

Avec ses sketchs désuets sur les relations amoureuses et un casting féminin relégué au rang de tapisserie, Michael Angelo Covino échoue à renouveler la formule qui a fait le succès de son précédent film.