Cinéma

«April», excès clinique

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Autour du quotidien d’une gynécologue-obstétricienne qui pratique des avortements clandestins, le deuxième long métrage de la Géorgienne Dea Kulumbegashvili distille un mystère froid et un peu vain.
publié le 28 janvier 2025 à 12h58

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